Amendes pour plusieurs activités de traitement de données illégales liées au marketing direct. Des centaines de personnes concernées ont affirmé avoir reçu des communications non sollicitées envoyées sans leur consentement préalable par SMS, e-mail, appels téléphoniques et appels automatisés. Les personnes concernées n'ont pas été en mesure d'exercer leur droit de retirer leur consentement et de s'opposer au traitement à des fins de marketing direct car les informations contenues dans la politique de protection des données étaient incomplètes par rapport aux coordonnées. En outre, l'autorité de protection des données a déclaré que les données des personnes concernées étaient publiées sur des listes téléphoniques publiques malgré leur objection. De plus, plusieurs applications distribuées par l'entreprise ont été mises en place de manière à ce que l'utilisateur doive donner son consentement à diverses activités de traitement à chaque fois qu'il y accédait, avec la possibilité de retirer son consentement donné seulement après 24 heures.